Recherche par lecteur : Daniel Martin
97 résultats. Page 2 sur 5.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 4h. 43min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71801
Résumé:Hélène, seize ans, vit au coeur de la Bretagne intérieure, dans un bourg oublié des touristes et cerné par les rochers. Entourée d'un père aimant, de son ami Yannick, ardent défenseur de la cause bretonne, et de sa grand-mère Alexine, diplômée de l'école des druides, elle se destine à devenir institutrice, comme sa mère. Mais l'arrivée de Marguerite, nouvelle professeure de français venue de Paris avec son mari, célèbre romancier, bouleverse leur existence à tous. Qu'est venue chercher Marguerite ici, enfoui sous le granit ? Quels drames anciens se murmurent dans la forêt ? Le temps d'un été, Hélène va découvrir le vertige du désir, la douleur de la perte et le piège qui se referme sur ceux qui dérangent. A la fois saga bretonne et roman d'apprentissage, Le Passage de l'été fait resurgir les secrets et les blessures de trois générations de femmes, de 1945 à nos jours. Il raconte la fin de l'enfance, entre émerveillement des premières fois, chagrin indélébile et promesse d'émancipation.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 11h. 1min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 71821
Résumé:S'appuyant sur l'étude d'importantes sources ethnographiques, l'auteur s'intéresse à la violence des conflits collectifs aborigènes. Ces affrontements, sans but économique ou politique, s'inscrivent dans un système judiciaire dont il explique le fonctionnement.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 4h. 18min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 71858
Résumé:Un essai consacré à la littérature contemporaine. L'auteur déplore une absence de vertu formatrice et une vision déformée de la réalité dans les ouvrages appartenant à ce qu'il nomme l'âge de l'après littérature, c'est-à-dire un temps où la vision littéraire du monde ne trouve plus sa place.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 14h. 36min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 71531
Résumé:Orson Welles est l’un des grands réalisateurs à propos desquels les légendes les plus diverses se superposent à l’esprit. Enfant terrible de l’Amérique, son entrée fracassante en cinéma avec Citizen Kane le propulse en jeune prodige d’Hollywood. Ses démêlés avec les studios le parent de l’image d’un artiste brimé par les producteurs. Sa carrière d’acteur lui confère l’aura de séduction d’une star, bientôt doublée de celle de l’ogre de ses rôles shakespeariens. Ses allers-retours entre les États-Unis et l’Europe lui gagnent la réputation d’un auteur au génie intarissable et contrarié. La vertu première de cet ouvrage est de se dégager des a priori forgés par le mythe Welles, de retourner à la source des faits, d’analyser les documents de première main pour dessiner le portrait du cinéaste au travail. Sa puissance de création le dote d’une exceptionnelle faculté d’adaptation, modifiant de fond en comble les choix stylistiques d’un film en fonction des conditions de production qui lui sont proposées. L’énergie de son projet artistique est si intense que le changement de méthodes d’un film à l’autre, voire au cours d’un même film, aboutit inéluctablement à une œuvre marquée de son sceau. Volonté de contrôler le moindre détail ou choix délibéré de déléguer à l’équipe, préméditation méticuleuse ou improvisation dans l’urgence, Welles n’est jamais plus à l’aise que dans les extrêmes et n’est guère avare de paradoxes. De Citizen Kane et La Splendeur des Amberson à Falstaff et Filming Othello, des années 40 à la fin des années 70, les auteurs restituent la genèse de chacun de ses films, grâce à leur travail de recherche dans des archives européennes et américaines : scénarios, contrats, croquis, plans de travail, story-boards, maquettes, rapports de production, mémos, correspondances…
Lu par : Daniel Martin
Durée : 6h. 54min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 71160
Résumé:L'annonce de son décès brutal a provoqué une onde de choc dans le milieu du rugby, chez les amoureux du sport et jusqu'aux dirigeants politiques du pays. Au cours de l'année 2020, durement touché par l'échec de son projet pour le club de Béziers, Christophe Dominici a vu réapparaître ses vieux démons, ceux qui l'avaient déjà jeté dans le fond de la dépression en 2000. Le 24 novembre, en fin de matinée, sa vie s'est tragiquement arrêtée après une chute de dix mètres dans le parc de Saint-Cloud. Cette nouvelle édition de son autobiographie écrite en 2007 nous aide à mieux comprendre le destin brisé du rugbyman au gabarit de poche et à l'énergie sans limite. Elle est aussi un bouleversant hommage à l'homme et au joueur d'exception. Dans une longue " lettre " à son fils, Jean Dominici raconte son Christophe, avec émotion et pudeur. Loretta, sa compagne et la mère de ses deux filles, nous ouvre les pages de leur album photo. Ses compagnons du rugby - Yann Delaigue, Fabien Galthié, Max Guazzini, Bernard Laporte -, témoignent de leur admiration et de leur affection, de tout ce que Christophe Dominici leur a apporté. Tous nous invitent, avec beaucoup de générosité, dans l'intimité familiale et amicale d'un très grand champion.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 13h. 47min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 71083
Résumé:Vendredi 13 octobre 1307. Partout dans le royaume de France, les agents du roi Philippe le Bel s’emparent des chevaliers du Temple. Naguère membres respectés d’un ordre modèle et défenseurs de la Terre sainte, les Templiers sont emprisonnés par centaines, sous l’accusation d’apostasie, d’idolâtrie, de sacrilège et de sodomie. Malcolm Barber revient avec une maîtrise et une érudition inégalées sur cette opération spectaculaire et sans précédent dans l’histoire médiévale : les interrogatoires, la torture, l’exécution des plus courageux, le silence inexplicable des grands dignitaires, le mutisme du pape Clément V, et enfin l’interminable processus de liquidation qui vit disparaître le plus puissant des ordres militaires.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 21h. 53min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 70548
Résumé:"Trop pauvre que je suis pour posséder un autre animal, du moins 'le Cheval d'Orgueil' aura-t-il toujours une stalle dans mon écurie." Ainsi parlait à l'auteur son petit-fils, l'humble paysan Alain Le Goff qui n'avait d'autre terre que celle qu'il emportait malgré lui aux semelles de ses sabots de bois. "Quand on est pauvre, mon fils, il faut avoir de l'honneur. Les riches n'en ont pas besoin." Et l'honneur consiste à tenir et à faire respecter son rang, si humble soit-il. Au pays bigouden, on ne redoute rien tant que la honte qu'on appelle "arvez". Tout le reste est supportable. L'auteur a grandi dans ce sentiment. Avant d'apprendre le français, il a été élevé en milieu bretonnant, dans une société qui vivait selon un code strictement établi. Il n'enseigne pas, il raconte minutieusement comment on vivait dans une "paroisse" bretonnante de l'extrême Ouest armoricain dans la première moitié de ce siècle. Il nous fait partager sa profonde conviction : ceux qui jugent les paysans comme des êtres grossiers sont eux-mêmes des esprits sommaires et naïfs. Il affirme que ce sont des siècles de mépris culturel qui ont fini par déclencher jacqueries et révoltes chez les paysans de notre pays. Et puis, un jour, "le Cheval d'Orgueil" a secoué furieusement sa crinière !
Lu par : Daniel Martin
Durée : 13h. 6min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 70282
Résumé:Trois historiens, spécialistes de la Résistance, ont décidé de conjuguer leurs expertises, de croiser leurs regards, de se soumettre à une critique réciproque et exigeante. S’appuyant sur une abondante littérature, les auteurs se sont attachés à dérouler un récit qui prend parfois à rebours, comme dans le cas de la mémoire de la Résistance, les thèses communément admises. Chacun des dix-sept chapitres du livre s’ouvre sur un document visuel – photo d’identité, reproduction d’une feuille clandestine, cliché d’une scène publique ou privée – qui illustre une facette de cette histoire, saturée de représentations mais si pauvre en illustrations. Ces documents variés font ainsi office de portes d’entrée vers un monde par nature difficile à saisir, celui de la lutte clandestine. Tout en suivant la trame chronologique de la période, depuis les premières manifestations du refus en 1940 jusqu’aux libérations du territoire à l’été et à l’automne 1944, c’est bien une approche anthropologique du phénomène qui a été privilégiée. Elle conduit à mettre l’accent sur la densité extrême du temps résistant, à scruter ses pratiques et ses sociabilités, à interroger aussi les liens qui se tissent peu à peu avec la société. Elle cherche à comprendre ce que vivre en Résistance pouvait concrètement signifier. Soumis à un danger permanent, sans modèle préalable auquel se référer, l’univers clandestin de la Résistance, enfoui et invisible, n’aura en réalité jamais cessé d’inventer sa propre action. Il a généré des expériences d’une extrême variété tout en exposant l’ensemble de ses protagonistes, où qu’ils aient oeuvré, à des risques identiques et mortels.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 6h. 43min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 70062
Résumé:Boulin, Urba, Elf, les frégates de Taïwan, Clearstream, Kerviel, Cahuzac, Karachi, Balkany… Le juge Van Ruymbeke a instruit pendant plus de quarante ans les grandes affaires financières qui ont secoué notre République. Tenace et libre, il est la figure emblématique de la lutte anticorruption. Dans ces mémoires vibrantes, animé par sa si chère indépendance, il raconte la manière dont il s’est attaqué aux sphères du pouvoir et au financement illégal des partis politiques. Engagé dans la lutte contre les paradis fiscaux, Renaud Van Ruymbeke fait des propositions pour traquer l’argent sale et réformer durablement la justice française. Voici le parcours d’un homme déterminé à se battre pour une justice égale pour tous.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 17h. 53min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70063
Résumé:Un Dictionnaire amoureux qui marie l’Odyssée et le plus contemporain de notre actualité, Thomas More et les archipels menacés par le réchauffement climatique. On vagabonde, on rêve, on frissonne, on se souvient. Les îles pourraient bien être chemins de vérité. Ce n’est pas parce qu’il a bourlingué, du Groenland à la Polynésie, du Japon au Chili, qu’Hervé Hamon est un collectionneur de cartes postales. Et ce n’est pas parce qu’il aime naviguer que les cocotiers et le sable blanc le fascinent. L’île, avant l’île, c’est le voyage vers l’île. Avec tous les imaginaires inimaginables. Celui du conquérant, de l’exilé ou du migrant, du naturaliste ou du missionnaire, du négrier ou du pirate, celui du déporté, celui de qui se rêve roi d’un monde pur. Celui qui quitte une île pour une autre. Les îles ne sont pas des navires à l’ancre mais des montagnes émergées, quand bien même elles ne dépassent que de quelques mètres. Elles sont la plaque sensible de notre monde cerné d’eau, elles racontent nos convoitises, nos guerres, nos croyances, nos espoirs. Elles nous parlent d’écologie et de mondialisation autant que de distinction et de solitude. Pas étonnant que la littérature s’en soit emparée. Melville aux Marquises, Hugo à Guernesey, Tchékov à Sakhaline, Perec à Ellis Island, Albert Londres à l’île du diable, Soljenitsyne à Solovki, Dumas à If, Césaire ou Glissant à la Martinique, et ainsi de suite. Ce dictionnaire amoureux va de Fred et de Philémon sur le A d’océan Atlantique, à Robinson sur Juan Fernandez (où Defoe, du reste, n’a jamais mis les pieds).
Lu par : Daniel Martin
Durée : 21h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 69587
Résumé:« Nos amis italiens et espagnols (ils ne sont pas les seuls) ne font guère de distinction entre « roman noir » et « roman policier ». Mais comme en France, nous la faisons, en toute logique ce dictionnaire devrait ne comprendre que des entrées concernant le roman policier. Si vous en êtes d’accord, ce sera ma première licence : je parle d’un univers littéraire qui est le mien, on y trouvera aussi bien du « polar » que du « noir ». S’agissant d’un univers « littéraire », il ne devrait y avoir ici que des livres. Ce sera ma seconde licence : incidemment, on y trouvera quelques films, quelques séries TV, quelques BD, des librairies, des blogs. Enfin, autant prévenir tout de suite : pour les définitions maîtrisées, les monographies exhaustives, les analyses thématiques, etc., le lecteur trouvera facilement d’excellents ouvrages (j’en cite quelques-uns, en fin de volume) qui correspondront à cette attente. C'est à un écrivain que l’éditeur a confié ce Dictionnaire amoureux. Je parlerai donc ici en lecteur et en romancier. Il y aura des oublis impardonnables, des injustices, des jugements contestables. C'est inévitable mais je ne fais que respecter le projet de cette collection : c’est le dictionnaire de ce que j’aime (à quelques oublis près). Lorsque je lis un Dictionnaire amoureux, rien ne me fait plus plaisir que de découvrir des choses que je sais déjà. C’est un peu comme pour le Nobel de littérature : le jour de la proclamation, quand il s'agit de quelqu'un dont je connais déjà le nom, j'ai l’impression d’être cultivé. J’espère que ce Dictionnaire amoureux réservera au lecteur quelques-unes de ces satisfactions mais aussi quelques surprises, quelques découvertes. Et l’envie de lire et de relire encore cette littérature majeure qui, quoiqu’on en dise, reste durablement marquée par le prosaïsme de ses origines. Alphabétique (de « s’abîmer » à « vouloir-saisir »), totalement subjectif (« on a rendu à ce discours sa personne fondamentale qui est le JE »), sans prétention à l’exhaustivité…, je crois que les Fragments d’un discours amoureux (1977) peut être considéré comme l’ancêtre des Dictionnaires amoureux. Puisqu’il correspond très exactement à mon projet, je reprends donc ici, à la lettre, l’exergue de Roland Barthes : C’est donc un amoureux qui parle et qui dit »
Lu par : Daniel Martin
Durée : 19h. 42min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 69102
Résumé:Dans un petit village de Catalogne, à l'orée des Pyrénées, Les Voix du Pamano s'élèvent. Nées dans la douleur au cours de la Guerre civile de 1936, l'écho de leurs cris ne s'est jamais tu. Traversant les années, entredéchirant amis et amants, il résonne encore au nom d'Elisenda, archange maudit, qui n'hésita pas à séduire et trahir pour assouvir sa soif de vengeance...
Lu par : Daniel Martin
Durée : 1h. 28min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69138
Résumé:L’Université se retrouve en première ligne du front numérique. En ouvrant la voie à une adoption plus large du «distanciel» dans l’enseignement supérieur, la crise pandémique va accentuer les évolutions profondes déjà engagées dans les apprentissages universitaires et leurs évaluations. Elle met au jour sa vulnérabilité aggravée à l’emprise toujours plus forte des logiques managériales sur un lieu dont la vocation critique consiste pourtant à les tenir à bonne distance. Car le numérique n’est pas une forme vide ; il porte en soi certaines manières de faire et de dire auxquelles, précisément, l’Université ne saurait sans résistance se plier, au nom d’un enseignement libre, incarné et divers – et par là aussi, de son temps. Il y a urgence à agir.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 55h. 39 (3 cd)min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68716
Résumé:Ce roman-feuilleton paru en tranches quotidiennes de 1844 à 1845 dans le journal Le Constitutionnel et qui fit haleter des centaines de milliers de lecteurs pendant de nombreuses semaines est intégralement réuni dans cet ouvrage. En se livrant à l’exploration des bas-fonds de la société afin d’en dénoncer les injustices, Eugène Sue, s’il fut d’emblée adulé du peuple, s’attira les foudres de l’aristocratie et de la critique littéraire, lesquelles le considérèrent comme un blasphémateur. En effet, Le Juif errant dresse une fresque corrosive de la vie urbaine : l’auteur met en scène les complots et les souffrances d’ouvriers et de marginaux, habituellement bannis des romans bourgeois. Le roman reprend également la légende médiévale du juif errant avec le personnage fantastique de Samuel.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 55h. 39 (3 cd)min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68715
Résumé:Ce roman-feuilleton paru en tranches quotidiennes de 1844 à 1845 dans le journal Le Constitutionnel et qui fit haleter des centaines de milliers de lecteurs pendant de nombreuses semaines est intégralement réuni dans cet ouvrage. En se livrant à l’exploration des bas-fonds de la société afin d’en dénoncer les injustices, Eugène Sue, s’il fut d’emblée adulé du peuple, s’attira les foudres de l’aristocratie et de la critique littéraire, lesquelles le considérèrent comme un blasphémateur. En effet, Le Juif errant dresse une fresque corrosive de la vie urbaine : l’auteur met en scène les complots et les souffrances d’ouvriers et de marginaux, habituellement bannis des romans bourgeois. Le roman reprend également la légende médiévale du juif errant avec le personnage fantastique de Samuel.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 55h. 39 (3 cd)min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68651
Résumé:Ce roman-feuilleton publié entre 1844 et 1845 explore les bas-fonds de la société et dénonce les injustices.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 14h.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 68773
Résumé:Avant d’être ces hommes ou ces femmes dont le visage s’affiche dans les médias, alors même que leur vie ne tient qu’à un fil, les otages furent, depuis la plus haute Antiquité, des rouages indispensables aux relations entre puissants, garanties vivantes de la parole du chef. Jusqu’au XVIIIe siècle, ils furent associés malgré eux à chaque alliance, chaque traité, et même utilisés pour garantir la souveraineté d’un prince, tant au regard de ses sujets qu’au regard des dieux. Si l’avènement du droit international mit progressivement un terme à cet usage, celui-ci fut réinvesti par la guerre contemporaine puis par le terrorisme. À partir du XIXe, les armées utilisent des otages sous divers prétextes, et non sans en contester l’usage chez l’adversaire, repoussant, sous une forme diplomatique, les limites de la guerre totale. Considérée comme un crime de guerre dès 1945, la prise d’otages – si elle persiste dans les relations entre États – est désormais le fait du terrorisme, qui y voit une sorte de duel. Cet ouvrage, qui s’appuie sur des sources originales, entend retracer la généalogie d’une pratique ancienne et renouvelée, pour proposer une véritable relecture des relations internationales.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 12h. 33min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 68226
Résumé:L'auteure explore les différentes façons qu'ont les relations amoureuses de prendre fin, d'avorter avant même de commencer ou de se dissoudre faute d'engagement durable ou réciproque. Elle montre que si l'enjeu de l'amour moderne a été celui du libre choix du partenaire, il s'agit désormais d'avoir la liberté de ne pas choisir ou de se dégager, l'incertitude marquant les relations affectives.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 12h. 2min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 68267
Résumé:La Seconde Guerre mondiale a été marquée par le développement des forces spéciales et des actions commandos chez tous les acteurs du conflit : cette guerre non conventionnelle faite de « coups de main » à l’intérieur des lignes ennemies a souvent joué un rôle crucial dans la guerre, jusqu’à renverser des rapports de force qui semblaient inéluctables. Pour la première fois, un ouvrage francophone offre un point de vue d’ensemble sur cette « guerre dans la guerre » à travers trente des plus spectaculaires opérations commandos conduites sur tous les fronts, analysant succès et échecs. Tous les groupes sont ici présentés, des plus connus (SAS britanniques, FFI français, spetsnaz soviétiques, hommes torpilles du prince Borghese, commandos paras allemands…) aux plus méconnus (commandos skieurs finlandais, norvégiens, résistants, commandos japonais, Chindits…).
Lu par : Daniel Martin
Durée : 27h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68136
Résumé:Livre dense, où la narration joue sur plusieurs registres, de la confession intime à une large vision de la génération d'après-guerre, Daniel Martin est tout à la fois un roman d'apprentissage et une éducation sentimentale. A travers le parcours de son héros - un quinquagénaire qui, déçu par son expérience ratée de scénariste à Hollywood et ses déboires sentimentaux, revient en Angleterre, où il retrouve celle qu'il a toujours aimée et vit avec elle une véritable rédemption -, John Fowles explore un demi-siècle d'erreurs et d'illusions. Virtuose dans l'art du chassé-croisé entre psychologie, idéologie et réflexion, il nous offre ainsi le roman d'une génération, celle de l'après-guerre qui avait cru possible de changer le monde et qui, lucide mais sans amertume, découvre encore possible de changer la vie.